Le 3 novembre dernier, La Fabrique de la Danse est intervenue en Master 2 Alternatives urbaines, démarches expérimentales et Espaces publics à l’Ecole d’urbanisme de Paris. Durant deux heures, Laure Nouraout y a expliqué le développement de La Fabrique de la Danse, Réinventer.Paris et le projet architectural.
Direction Noisy-Champs ! Mercredi dernier, je me suis rendue sur le campus de l’Université Paris Est Marne-la-Vallée pour intervenir devant une vingtaine d’étudiants de l’Ecole d’urbanisme de Paris. C’est Pedro Gomes, le prof’, qui nous a fait venir : « Le but du semestre est de connaître et prendre du recul par rapport aux « démarches émergentes » de la production des espaces urbains, à partir de l’innovation dans le secteur public, de nouveaux enjeux et des apports de nouveaux types d’acteurs. L’intervention de La Fabrique de la Danse permet d’aborder deux de ces sujets : les changements dans la commande publique, notamment Réinventer.Paris, et le rôle des start-up dans l’urbanisme, avec des manières de faire et de penser différentes. »
Alors au programme de ces deux heures, un peu d’historique sur la genèse de La Fabrique de la Danse, le déroulé des différentes étapes du concours Réinventer.Paris, la constitution et le renforcement de l’équipe, mais aussi ce qu’il se passe depuis les résultats de février et les nouveaux challenges.
Un exposé qui a correspondu aux attentes de Pedro Gomes : « C’était super! Les objectifs ont été clairement atteints. La manière de fonctionner d’une start-up est très différente de ce que nous avions vu jusqu’ici en cours: les délais, la taille du projet, l’organisation mise en place, la manière de se présenter et de communiquer avec les autres acteurs et le grand public. D’autant plus que le programme du bâtiment et le projet architectural sont eux aussi très particuliers. Enfin, nous avons pu voir également la manière dont Réinventer.Paris a été un levier et a eu un effet de signal important dans la mobilisation de nouveaux acteurs dans des projets d’envergure. »
Et pour moi, c’était une première ! Un peu intimidant, mais aussi intéressant de revenir sur ces deux années de projet et de pouvoir partager cette expérience.